lu en chemin….
« QUOIQUE JE FASSE,
OU QUE JE SOIS
RIEN NE S’EFFACE, »
JE PENSE A LIRE..
« Et je verrais bien, et je saurais bien, qui viendra par le petit chemin » (chanson gaie de la région de Koupichkis)
pas facile à porter !
séquence culturelle
« -Souviens-toi de ce que disait le grand-père Youkoubas : les gens ne pardonnent pas ce qu’ils ne comprennent pas. Sois comme tout le monde, et on sera avec toi comme avec tout le monde.
– Tu crois vraiment que dans leur vie, les hommes font juste ce qu’ils devraient faire ? Quand le coeur te tient, tu peux empêcher tes pieds de le suivre ?
Le visage d’Adomas s’éclaira :
– Autrefois, il y avait des gens qui partaient aux Amériques. Tu le sais…. va pas de fâcher, je parle comme je pense. Alors je me dis comme ça et le Canada ? ou bien une Argentine quelconque. Il y en a qui y vont, je l’ai entendu dire. Ils s’installent et y vivent bien. Pourquoi pas toi ? Tu y resterais un peu, tu te ferais du pognon…..
Youza garda un peu le silence, puis :
– Et tu crois que là-bas, je pourrais échapper à moi même ?
Adomas s’assombrit à nouveau :
– sur que non. »
(La saga de Youza, de YOUOSAS bALTOUCHIS)
Je ne suis arrivée à Figeac que 2 jours plus tard que prévu (pour une fois que je vous annonçais mes prévisions !!!!) j’ai détourné ma route pour 2 jours en famille avec Alain et Joelle et des retrouvailles chaleureuses chez Jean-pierre, Thérèse et leur fille Dominique, que je n’avais pas revus depuis environ 30 ans… bonheurs partagés à Marcillac en Vallon.
« Vous qui êtes vivants, savourez cet instant ! »
Mon truc pour relativiser les petits bobos ou blessures graves du corps ou de coeur rencontrés dans la vie : me promener dans un cimetière……. j’en ressors toujours en mesurant mieux la chance qui est mienne d’être là et de respirer.
C’est grande injustice que de nommer la pluie au singulier. Elles sont plurielles, ces larmes issues du ciel, soeurs, tantes ou cousines, au caractère bien différent. De la bruine qui vous imprègne jusqu’aux os doucement, légère, régulière, dense et silencieuse, à l’averse d’équinoxe qui s’associe au vent pour vous fouetter le sang. Et que dire des pluies diluviennes des orages, véritables douches animées de sons et lumières. Chacune a ses avantages et son tempérament.
Si les charmes de l’humidité et de ses différents degrés ne vous satisfont guère, installez-vous alors, en rêve ou en réalité, devant un feu de cheminée, bien au chaud sous la douceur d’une couette, avec un livre ou du papier.
Et pour terminer, une photo complètement hors sujet :
Douce nuit à vous
Je vous écris tant de choses en pensées, tout au long du chemin,
Et si peu parviennent jusqu’à vous !….c’est la vie !